http://bastidebrazzablog.fr/memoire-du-quartier-un-combat-de-rues/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=memoire-du-quartier-un-combat-de-rues Sun, 13 Jan 2013 18:17:52 +0000 hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.3.1 http://bastidebrazzablog.fr/memoire-du-quartier-un-combat-de-rues/#comment-126 Christian ABADIE Sun, 11 Nov 2012 16:38:51 +0000 http://bastidebrazzablog.fr/?p=2766#comment-126 je trouve intolérable de débaptiser les anciennes rues de la bastide par des noms qui non rien avoir avec l'histoire du quartier, alors que les anciens noms étaient directement liés à cette histoire. SCANDALEUX . je trouve intolérable de débaptiser les anciennes rues de la bastide par des noms qui non rien avoir avec l’histoire du quartier, alors que les anciens noms étaient directement liés à cette histoire. SCANDALEUX .

]]> http://bastidebrazzablog.fr/memoire-du-quartier-un-combat-de-rues/#comment-62 Virassamy Georges Tue, 06 Nov 2012 00:57:36 +0000 http://bastidebrazzablog.fr/?p=2766#comment-62 Excellent article qui sensibilise à cet art que constitue la viographie. Il traduit certes un devoir de mémoire. Et ce n'est pas rien, car se souvenir est l'un des plus beaux verbes de la langue française, qui exprime la fidélité à soi-même, aux autres et aux événements. La question est cependant de savoir de qui, de quoi se souvenir et pourquoi. Faut-il par exemple se limiter aux personnages strictement locaux, au risque de vivre en vase clos et d'interdire toute ouverture sur les autres... ? De la réponse à cette question dépend la conception que l'on se fait de la mémoire. Sert-elle à enrichir ou à appauvrir ? Quoi qu'il en soit, les rues constituant par définition des voies publiques, donc ouvertes à tous, il importe par conséquent que les appellations retenues traduisent cette diversité. Excellent article qui sensibilise à cet art que constitue la viographie. Il traduit certes un devoir de mémoire. Et ce n’est pas rien, car se souvenir est l’un des plus beaux verbes de la langue française, qui exprime la fidélité à soi-même, aux autres et aux événements. La question est cependant de savoir de qui, de quoi se souvenir et pourquoi. Faut-il par exemple se limiter aux personnages strictement locaux, au risque de vivre en vase clos et d’interdire toute ouverture sur les autres… ? De la réponse à cette question dépend la conception que l’on se fait de la mémoire. Sert-elle à enrichir ou à appauvrir ? Quoi qu’il en soit, les rues constituant par définition des voies publiques, donc ouvertes à tous, il importe par conséquent que les appellations retenues traduisent cette diversité.

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