Le 30 juin 2006, l’usine Soferti ferme définitivement. Elle produisait jusqu’à 250 tonnes d’acide sulfurique par jour et 35 tonnes d’engrais par heure. Retour sur le site où les séquelles de ces produits chimiques sont encore visibles.

Pour en savoir plus sur la dépollution de l’usine Soferti.
Marion Aquilina & Pauline Moullot / BastideBrazzaBlog
j’ai réussi à visiualiser la vidéo. Je trouve très dommage et je suis frustrée que ce reportage ne montre que l’aspect négatif de la SOFERTI. Certes comme toutes usines il y a les effets négatifs d’un site qui n’est pas parfait car les industriels (patrons du site – en loccurence GRANDE PAROISSE et TOTAL)ne souhaitent pas mettre les moyens financiers, ils se font toujours tirer l’oreille et font le munimum règlementaire, poussés par la DREALE, les autorités et les organisations syndicales, mais tout le positif d’une vie dans cette usine, la vie des salariés de génération en génaration, la vie à l’intérieur de l’usine et l’amitié qui est créée tout au long de sa carière, n’est pas reproduite. Cette usine c’était une famille, entre salariés et enfants de salariés. C’est aussi une économie sur Bordeaux, la SOFERTI alias ST GOBAIN, alias GENERALE DES ENGRAIS était connue sur toute l’aglomération de Bordeaux, parmis tant d’autre qui ont été également détruites. Les Chaniters de la Gironde, les Huileries, les Grands moulins de Bordeaux (ou il ne reste qu’une poignée de salariés), le Vinaigre tête noire, la caserne Niel, le Port de Bordeaux,ect……. Je regrette que ce documentaire ne retrace pas l’ensemble DE LA VIE d’un sectieur de la Rive droite
D. BARBE
Bonjour,
Merci beaucoup pour l’attention que vous avez porté à notre reportage. Malheureusement, nous ne pouvions pas aborder tous les sujets relatifs à l’usine. Mais, avec plus de temps, la vie à l’usine mériterait en effet un documentaire à part entière.
bonjour, je pense que l’équipe rédactionnelle a cherché, ou va chercher, à contacter les anciens de la Soferti, dont les noms étaient sur les articles que j’ai publiés en 2002 et en 2005 dans l’Echo des Collines, articles que je leur ai transmis. Leur travail remarquable n’est pas achevé, et la Soferti et les autres usines ont toute leur attention !
Bonsoir
j’ai revisionné la vidéo avec des anciens salariés, ilsnt la même réflexion que moi. Le reportage ne reflète pas la vérité, la vie et l’économie e cette usine. Le montage de votre reprotage n’est pas représentatif. Les coupures donne un tout autre image, et expression de ce que souhaitent montrer les 3 ex salariés
c’est dommage, c’est un reportage de média peu objectif